C’est l’hiver. Même s’il est doux par chez nous, l’heure n’est pas venue où les corps se dévoilent. Mais partout pourtant une vérité est mise à nue qui raconte des histoires sordides de frottements dans les transports en commun, bien loin des transports amoureux chers à Roland Barthes.
A grand coup de « hache-tag » mi-tout, mi-porc, c’est le grand déballage des violences-faites-aux-femmes, le supermarché de la surenchère de la chair féminine donnée en pâture aux animaux de la ferme.
Alors, sur une vieille plaque de cuivre qui a bien vécu, qui en a vu d’autres, j’ai eu envie de faire une pointe-sèche, un bout de corps exposé pour le seul plaisir des yeux et pour parler de corps, et de séduction , d’érotisme sans arrière-pensée dans un monde où l’art nous sauverait des porcs.
Merci pour ce billet d’humeur, avec lequel je suis plutôt d’accord.
Mieux vaut carrément porter plainte que de se défouler sur Internet, même si c’est moins facile.
J’aimeJ’aime