J’avance à pas de fourmi dans ce projet que je dois absolument terminer avant la fin janvier, tradition oblige ! Le week-end dernier j’ai sélectionné la série de dix photos pour ces cartes, choisi le texte pour chacune et fait les 10 premiers tirages.
Ce week-end, je vais fabriquer les mini-enveloppes qui devront être tout de même plus grandes que les photos si je ne veux pas qu’elles s’égarent en route, et ne serait-ce que pour avoir la place pour l’adresse et le timbre !
Et je vous invite tous à classer les cartes de 1 à 5 (ou de 1 à 10 si vous avez le temps) par ordre de préférence. Si vous deviez recevoir une de ses cartes de voeux, laquelle vous ferait le plus plaisir ?
Une belle année et une bonne épiphanie à vous tous !
Je vous avais déjà parlé de mon nouveau « jouet », la Zoemini. Si vous voulez avoir un aperçu de la technologie, je vous invite à commencer par lire mon article Avec ou sans encre ? Comme j’ai la chance d’avoir encore une semaine de vacances, j’en profite pour fabriquer des petites cartes de voeux puis je passerai à la réalisation des enveloppes au bon format avec du papier de récup.
Le format est vraiment minuscule, puisque chaque photo/ carte de voeux fait 5 x 7.6 cm. L’avantage c’est que je vais pouvoir personnaliser mes envois, en choisissant une photo qui corresponde à ce que chaque destinataire aime, ou à ce que je crois qu’il ou elle aimera.
Chaque photo est imprimée sans encre – mais ça vous le savez déjà si vous avez lu l’autre billet- et sur un papier autocollant. Autrement dit, la carte de voeux peut se transformer en « sticker » qui peut-être collé dans un agenda, sur un frigo ou dans un journal.
Pour ne rien vous cacher, c’est ce que j’avais prévu d’offrir à ceux qui participeront à mon Défi 2020 ! : pour l’instant je n’ai reçu aucun commentaire mais il n’est pas trop tard, il vous reste encore 3 jours pour gagner votre mini carte de voeux !
Pendant ces vacances j’ai pris le temps de comparer différentes imprimantes de poche qui utilisent la technologie « Zink « , c’est à dire « zero ink« . Ce petit instrument me faisait de l’oeil depuis le début de l’année 2020, mais une mini imprimante, pourquoi faire? Et bien pour explorer d’autres pistes d’impression, continuer à mêler photo, gravure , sérigraphie et fabriquer de toutes petites cartes postales pour la correspondance que j’entretiens avec quelques amies artistes.
Pour les curieux, voilà comment marche la technologie « zink »:
« Tout ce passe dans le papier. Le papier d’apparence blanche avant l’impression contient tout ce qu’il faut pour se passer d’une cartouche d’encre. Le papier inventé par Zink contient tout l’encre à l’intérieur sous la forme de cristaux de couleurs répartie sur des couches différentes.
Les 3 couches intermédiaires de cristaux, incolores avant l’impression, sont activés par la tête thermique contenue dans l’appareil photo ou l’imprimante. Ceux-ci ne se colorent que lorsqu’ils sont exposés à la source de chaleur envoyée par la tête de l’imprimante. La chaleur provoque une réaction chimique qui fait fondre les cristaux et c’est le mélange de chaque couche qui donne les couleurs nécessaires pour créer la photo la plus fidèle possible.
Lorsque la tête d’impression passe sur le papier, différentes intensités de chaleur sont appliquées, ce qui donne une variété de couleurs. Ces différentes couleurs sont possibles parce que chaque couche répond à sa propre plage de température. » https://printyourlife.fr/papier-zink/
Vous ne serez pas surpris d’apprendre que la technologie a été initiée par Polaroid: je suis une grande nostalgique de mes « Pola » et le plaisir d’imprimer instantanément des photos est resté très vif en moi . Et puis je trouve fascinant que ça fonctionne sans encre, moi qui passe mon temps à utiliser de l’encre par ailleurs, que ce soit dans l’écriture ou l’impression de gravures et de sérigraphies.
Pour finir, une photo de l’imprimante et de mes trois premières impressions :
L’imprimante (11,8 x 8,2 ) et les tirages (5 x 7,6)